« Ça ne marche plus ! » C’est le cri des restaurateurs et hôteliers de Tana face aux coupures d’électricité. En réalité, ils ne peuvent plus travailler, l’absence du courant électrique a coupé leur travail. Les restaurateurs travaillent sur les réchauds électriques, les fours électriques, les réfrigérateurs électriques et d’autres outils électriques.
Ils ne peuvent plus satisfaire leurs clients à midi, les plats ne sont pas prêts. Ils n’arrivent plus à servir à partir de 18 heures à la sortie des bureaux. Leurs employés sont priés de quitter leur travail, n’ayant plus la possibilité d’être énuméré comme il faut. D’ici peu, tout sera fermé, et beaucoup seront au chômage.
« Nous ne croyons plus à nos dirigeants qui lancent des promesses non tenues ». Les restaurateurs sont à la recherche des solutions mais le manque de fonds nécessaires à toute initiative empêche tout. L’État n’a jamais octroyé des aides pour ce secteur hôtelier.
La colère est partout. Vu la cherté des produits d’alimentation, les restaurateurs sont des solutions rapides pour les familles. Mais, avec cette faille électrique, on ne peut plus satisfaire les besoins alimentaires. L’approvisionnement en eau fait également défaut.
« Trouver des solutions » demeure les mots d’ordre des restaurateurs et des gargotiers. L’impasse est profonde… Vendre les matériels de service ? Personne n’achète. Continuer ? Ça ne marche plus !
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